Ce dimanche 2 juin, les fils de Patrick Bruel, Oscar et Léon, ont été vus dans les tribunes de Roland-Garros. Tout comme leur père, ils sont des habitués du tournoi de tennis parisien.
Depuis une semaine, les célébrités affluent dans les tribunes de Roland-Garros. Ce dimanche 2 juin, c’était au tour des deux fils de Patrick Bruel de venir assister à un match. Oscar, 20 ans, et Léon, 18 ans, sont des réguliers du célèbre tournoi sur terre battue.
En effet, cela fait environ dix ans qu’ils accompagnent leur père à Roland-Garros. Passionné de tennis, le chanteur a pratiqué ce sport pendant de nombreuses années. Malgré un temps mitigé, les jeunes hommes ont été photographiés portant des lunettes de soleil sombres.
Ce dimanche, Oscar et Léon Bruel étaient également dans les tribunes avec Clémence Cherier, supposée compagne de l’interprète de « Casser la voix », bien que ni l’un ni l’autre n’ait officialisé leur relation. Quelques jours plus tôt, le 31 mai, Oscar Bruel était déjà présent à Roland-Garros, assistant à la session nocturne en compagnie de sa mère, Amanda Sthers. Mère et fils ont pris la pose devant les photographes au village de Roland-Garros.
Patrick Bruel souhaite être « là le plus longtemps possible » pour ses enfants
Pour promouvoir sa nouvelle tournée, Patrick Bruel a accordé une interview à Soir Mag, publiée le 15 mai dernier.
Lors de cette entrevue, le chanteur a abordé divers sujets, notamment sa perception de la vieillesse, en expliquant qu’il entretenait un « rapport à l’âge assez compliqué ». « Depuis mes 40 ans, cela devient plus difficile », a-t-il déclaré, évoquant une remarque marquante de Claire Chazal lors de son passage dans un journal télévisé : « Elle ouvre le journal en disant : ‘L’album d’un quadra.’ Il faudrait revoir les images, mais je pense que ma tête a changé ! Alors qu’aujourd’hui, j’adorerais être quadra ! », a ajouté Patrick Bruel.
Son rapport compliqué à l’âge n’est pas dû à la peur de vieillir, mais à la crainte de ne pas voir ses enfants construire leur propre vie. « L’âge ne m’angoisse pas en soi. Je dirais que l’idée de vieillir est plus compliquée depuis que j’ai des enfants.
J’aimerais être là le plus longtemps possible pour voir ce qu’ils feront, ce qu’ils vont devenir », a-t-il affirmé. « Cela me terrifie de ne pas être là dans les phases d’accomplissement de leur vie. Là, ils sont dans des moments de création, de développement », a-t-il conclu.