Chaque matin Kata enceinte de quatre mois prenait le métro bondé de Budapest: Malgré la fatigue elle allait travailler luttant contre le sommeil et les souvenirs douloureux d’une enfance marquée par l’abandon et la misère

Art et Nature

Un jour, dans le passage souterrain, elle vit un sans-abri inconnu, jeune, silencieux, assis avec une béquille. Émue, elle lui offrit un thé chaud, un beignet et glissa 50 forints dans son bonnet.😊😊

Le lendemain, elle assista, horrifiée, à une scène de violence : trois autres sans-abris l’agressaient. Sans réfléchir, Kata intervint. Elle fut insultée, menacée, mais tint bon. L’homme qu’elle protégeait semblait perdu, muet… mais ses yeux lui rappelaient quelqu’un.🎉

Les jours suivants, ils se saluaient brièvement. Il lui offrit une rose blanche. Puis un matin, il disparut.
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Chaque matin Kata enceinte de quatre mois prenait le métro bondé de Budapest: Malgré la fatigue elle allait travailler luttant contre le sommeil et les souvenirs douloureux d’une enfance marquée par l’abandon et la misère

Kata vit alors un jeune policier diriger l’arrestation des agresseurs. À sa grande surprise, c’était lui — le faux sans-abri. Il lui avoua être un officier en mission. Touché par son courage, il lui donna rendez-vous le lendemain.

Mais ce soir-là, Kata sentit que le moment était venu. Elle appela Gábor — le policier — en panique. Il la rejoignit à l’hôpital. Elle perdait beaucoup de sang. Il donna son sang pour la sauver, elle et le bébé.

Kata donna naissance à un garçon, Gergő. L’amour l’envahit. Gábor, fou de joie, les attendait à la sortie avec des fleurs… et une bague. Il lui demanda sa main.

Elle accepta.

Chaque matin Kata enceinte de quatre mois prenait le métro bondé de Budapest: Malgré la fatigue elle allait travailler luttant contre le sommeil et les souvenirs douloureux d’une enfance marquée par l’abandon et la misère

La vie reprit, difficile mais belle. Gábor, dévoué, joua son rôle de père avec tendresse. Un soir, le bébé murmura « papa ». C’est lui que Kata reconnaît désormais comme le vrai père.

Peu après, ils se marièrent. Les parents de Gábor l’accueillirent. Ceux de Dénes, le père biologique, restaient absents… jusqu’à ce que Gábor leur montre une photo de Gergő. Bouleversés, ils vinrent demander pardon.

Ce soir-là, après leur départ, Gábor prit Kata dans ses bras.

— Merci… d’avoir cru encore à la vie.

Car parfois, la vie nous brise. Mais elle recolle les morceaux. Et nous offre, si l’on y croit encore, une seconde chance.

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