Je ne me suis jamais considérée comme simplette. Au contraire, j’avais de quoi être fière : quitter mon village pour une grande ville, décrocher un bon boulot, et même acheter un appartement de trois pièces. Puis je me suis mariée, persuadée d’être heureuse… Quelle erreur !😊
J’ai rencontré Vlas lors d’une sortie rafting. Ce jeune homme charmant jouait de la guitare à merveille et chantait divinement. Nous avons passé deux semaines en pleine nature, partageant repas simples et nuits sous les étoiles.🤔🤔
Je venais d’un village de dix mille habitants, où le travail pour les jeunes était rare et souvent dur. Mes parents m’ont soutenue pour que j’étudie l’histoire, mais j’ai finalement travaillé dans une agence immobilière. J’y ai rapidement gagné une bonne réputation. J’ai acheté mon appartement en remboursant même mon prêt plus tôt que prévu.🎉 🎉
Je ne cherchais pas l’amour, trouvant la solitude préférable à une relation compliquée. Mais Vlas m’a tout de suite plu. Il venait aussi d’un village, travaillait dans un magasin de matériaux de construction, et aimait son métier. L’argent n’était pas sa priorité ; il cherchait une âme sœur. 🚀 Six mois après, il m’a demandée en mariage. Nous nous sommes mariés en secret, sans grande fête.
La suite est dans le premier commentaire.👇👇
Je rendais notre appartement chaleureux : linge neuf, rideaux faits maison, un grand lit confortable. Vlas adorait cuisiner, sa soupe au cabillaud était un délice.
Mais peu à peu, notre relation s’est détériorée. Vlas, autrefois doux, devenait blessant, se moquant de mon apparence, surtout parce que j’étais un peu plus âgée que lui. J’ai tenté de raisonner, mais en vain.
Un jour, rentrant plus tôt, j’ai entendu une conversation choquante : il prévoyait de me manipuler pour devenir propriétaire de mon appartement via un prêt qu’il voulait garantir à mes frais, avec la complicité d’un notaire ami. Il vivait aussi avec une autre femme pour l’argent.
J’ai prévenu la police avant notre rendez-vous chez le notaire. Lors de la signature, les policiers ont arrêté mon mari et son complice. J’ai demandé le divorce, réglé rapidement vu l’absence d’enfants ou de biens communs.
Vlas avait une maîtresse qui m’a reproché d’avoir fait enfermer son « malheureux » fiancé. Je l’ai ignorée. J’ai choisi de tourner la page, adoptant un chien, Zefiro, qui est devenu mon fidèle compagnon.
Ma mère m’a soutenue, partageant avec moi son expérience : elle aussi a connu un second mariage heureux après un premier échec. Grâce à leur amour, notre foyer était toujours paisible.
Je crois que je retrouverai le bonheur. Pour l’instant, Zefiro et moi vivons bien ici, loin du passé. Je garde confiance en l’avenir, fière de ce que je suis devenue, prête à avancer avec dignité.